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Le Club Xtrem est le club le plus privé de la capitale. Toutes les perversions y sont permises mais seuls les initiés savent exactement où il se trouve. Pour s’y rendre, il ne suffit pas d’y être invité, il faut également prouver qu’on a les qualités requises pour faire partie des membres de ce club ultra sélect. Liza del Sierra, Melody Clark, Angèle Karoll, Anissa Kate, Tiffany Tatum et Lovenia Lux sont toutes des expertes dans le domaine du sexe. C'est un univers Dorcel rempli de secrets, de fantasmes et de luxure. Pour convaincre leurs hôtes qu’elles avaient toutes les qualités requises pour devenir membre permanent du Cluc Xtrem, elles ont dû laisser libre cours à tous leurs fantasmes, à toutes leurs perversions. Pour Liza par exemple, un seul homme ne suffisant pas à la satisfaire pleinement, un deuxième partenaire s’est joint à leurs ébats. Quoi de mieux en effet qu’une double pénétration fougueuse pour atteindre le septième ciel à coup sûr ?
Bien qu’elles soient nouvelles, les jeunes Angèle et Melody ont tout de suite su démontrer qu’elles n’avaient plus grand-chose à apprendre dans l’art de prendre du plaisir tout en en donnant à leurs partenaires du jour. Ces derniers risquent de se souvenir longtemps de leur rencontre. Anissa Kate quant à elle n’a eu qu’à s’amuser avec un énorme sextoy pour qu’un voyeur vienne jouir sur ses gros seins naturels après s’être masturbé en la regardant. Pour la jolie brune Lovenia Lux, c’est sur le sexe tendu d’un inconnu qu’elle s’abandonne totalement. Vous l’aurez compris, le Club Xtrem est réservé aux personnes totalement libres d’exprimer leurs désirs sexuels les plus enfouis et les plus pervers. Ces six jeunes femmes, toutes adeptes des plaisirs multiples et hors du commun se rendent passent chaque semaine les portes.
Pour ce deuxième volet de la série le réalisateur Hervé Bodilis s’est une fois de plus attaché à nous proposer un film à la fois hard et chic comme il sait si bien les faire. Ici, pas de fioritures, juste des scènes de sexe sans concession dans lesquelles les participants ont pu se laisser aller totalement sans s’occuper de la caméra ou des équipes techniques présentes.